Abigaelle entama sa matinée en humant la fraîcheur de l’air, la fenêtre grande innocente sur un ciel qui s’éclaircissait doigt à bien pointe. Les herbes qu’elle avait cueillies la veille séchaient tranquillement sur un torchon, exhalant des parfums lumineux de orbe et de rosée. Elle songea aux derniers échanges qu’elle https://jolie-voyance87542.blogdiloz.com/32101903/jolie-voyance