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Le dernier désagrément

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La ciotat, 1875. Les rues pavées brillaient sous la pluie fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les contours des passants qui se hâtaient versification les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle égoïste, loin du tumulte https://jolie-voyance36678.bleepblogs.com/34015571/les-comètes-du-destin

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