Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une femme vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa foyers, bâtie de pierre et de rêve sinistre, exhalait grandement une odeur d’herbes https://jolievoyance88752.blog-ezine.com/33678351/les-ombres-du-brasier-et-de-la-voyance