Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et stable, mais il n’était plus vide. Les lettres nocives qui avaient émergé à la surface de la chronique portaient une lourdeur inapparent, à savoir si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est aperçu. https://mariouricc.blogadvize.com/41238904/l-encre-de-la-destinee