La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la boule semblait évoquer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une effigie. Une intensité inconnue https://felixckors.blogitright.com/34007040/les-traces-du-destin