Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient tangent de la carcasse rouillée d’une ancestrale cabine téléphonique. Posée seule au barrière d’une route oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une signal https://damienmrtuu.azzablog.com/34061666/la-mémoire-effacée