Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rituel, attendait que l’obsidienne parle à nouveau. La pierre noire semblait absorber la clarté de lune, pervibrer par-dessous la pression du vent, et dans certains cas, sans aviser, elle résonnait de https://rylanudiln.blogadvize.com/41364149/les-empreintes-effacées