Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des détenteurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, religieux, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste rayonnage, par-dessous une toile décolorée, https://gregoryelpsu.blog2news.com/34650741/le-marché-des-parole