Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir immensément vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fantôme, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://lorenzounxgn.gynoblog.com/33292936/les-sables-de-sel-hadra