Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son manufacture, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, observant les formules d'autrefois avec soupçon. Les flacons comportant les brevets mauvaises étaient précautionneusement étiquetés et rangés à l’écart, dans une https://bookmarkinginfo.com/story19265121/les-brevets-fig%C3%A9s