À lille, dans un futur concordant saturé de réseaux invisibles et d'informations ambiantes, une feu étrange s’était mise à bien tomber chaque nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de initiales, dessinés par condensation numérique, par exemple une encre https://cristianliaqe.blogerus.com/56369170/la-gerbe-des-prénoms